vendredi 31 mars 2017

Épilogue


Du mardi 7 mars au lundi au dimanche 26 mars, nous avons parcouru 3013 kilomètres entre Bordeaux et Monaco. Tous les jours, nous avons rédigé et affiché le détail des visites sur notre blog. Ainsi, les membres de nos familles respectives ainsi que nos amis étaient renseignés sur ce « road trip ».

 

En ordre chronologique, les endroits où nous sommes arrêtés pour effectuer des visites : Bordeaux, Dune du Pilat, Arcachon, Saint-Émilion, Lascaux, Brive-la-Gaillarde, Tulle, Rocamadour, Toulouse, Lourdes, Montréal, Carcassonne, Collioure, Perpignan, Andorre-la-Vieille, Sète, Montpellier, Nîmes, Millau, Lodève, Avignon, Aix-en-Provence, Cassis, Saint-Tropez, Nice, Èze, Monaco et Antibes.

 

Ci-dessous, quelques réflexions qui résultent de nos observations et discussions.

 

Le GPS est sans contredit le plus grand ami des voyageurs qui se déplacent en voiture ou tout véhicule motorisé. Pas besoin d’étudier des cartes routières ou des plans de ville pour aller du point A au point B. Il s’agit de planifier les destinations et de saisir des adresses.  

 

À peu près partout, les stationnements sont payants et sont très peu dispendieux. Plusieurs sont très modernes.

 

Les routes à péage (€/km) sont d’une qualité qu’on ne retrouve que très rarement au Canada. Elles sont peu ou pas affectées par le gel/dégel. La vitesse maximale est de 130 km/h et les camions circulent à 90 km/h dans la voie de l’extrême droite.

 

Nous avons visité une multitude d’églises. En France, le patrimoine religieux et l’architecture des édifices sont remarquables en raison de leur âge, des structures architecturales et de l’état de conservation des artéfacts mais aussi de l’entretien des lieux et de la protection patrimoniale par l’état ou des municipalités. Orgues, statues, bas-reliefs, vitraux, tableaux et tapisseries sont remarquables. Il n’y a qu’à quelques endroits où nous avons remarqué l’odeur du mildiou qui reflète un taux d’humidité élevé, une mauvaise ventilation et le chauffage de ces immenses lieux de culte.

 

La France regorge de sites historiques en raison de sa longue histoire. Au Canada, un édifice du XVIe siècle est considéré comme étant vieux alors qu’en France certains sites, autres que ceux associés à la préhistoire, datent du sixième siècle avant notre ère notamment avec la colonie grecque de Massalia (Marseille).

 

Les sites naturels que nous avons traversés étaient très variés avec le Bassin aquitain, les Pyrénées, la plaine méditerranéenne, le Massif central et la partie méridionale des Alpes.

 

Le mois de mars semble être un temps idéal pour visiter cette partie de la France. Nous avons rencontré quelques groupes scolaires, sûrement en activité pédagogique et quelques touristes asiatiques. Pendant la période où nous étions là, les températures se sont maintenues entre 8°C et 27°C.

 

À plusieurs endroits, nous avons observé la construction de plusieurs boviducs qui correspondent à des passages pour animaux (cerfs, sangliers) au-dessus des autoroutes.

 

Nous avons eu un mal fou à trouver des timbres pour le Canada afin d’affranchir les cartes postales que nous nous étions procurées à Tulle. Toutes les boutiques vendront des timbres, s’ils en ont, à ceux et celles qui achètent des cartes dans leur commerce. Le truc consiste à trouver un bureau de poste.

 

Dans le pays occitan, le cassoulet est aussi populaire que les repas de cabane à sucre du Québec. Nous avons eu le plaisir d’y goûter avec d’autres mets comme la noisette d’agneau, la tarte aux myrtilles, la tarte au citron, le canard confit, la daurade, les saucissons et les fromages.

 

Ce pays est réputé pour la qualité de ses vins, Nous avons circulé à travers des milliers d’hectares de vignes. Pour cinq à dix euros, il est possible de se procurer de très bons vins.

 

Un commentaire au sujet des bouchons de circulation; les rues et les voies urbaines d’autrefois ne sont définitivement pas adaptées aux modes de transport d’aujourd’hui. En fait, l’étroitesse des rues et des espaces de stationnement en font foi. Dans la commune de Millau, il y avait moins de 30 centimètres entre la voiture et les murs des maisons. À Nice, un étroit passage permettait aux voitures de circuler entre deux rangées de voitures stationnées.

 

Enfin, nous avons effectué un excellent voyage en découvrant la partie méridionale de la France.

 

Le lundi 27 mars 2017


Puisqu’il fallait être à l’aéroport trois heures avant le départ (envolée à 7h10), nous sommes partis de l’hôtel à 3h45. Arrivée à l’aéroport à 3h50, nous nous sommes butés à des portes verrouillées. À cette heure, pas un chat en vue. À 4h, on ouvre les portes et à 5h, c’est l’ouverture des guichets d’Air France. Le passage à la sécurité s’est effectué en un temps record. Tel que prévu, le décollage en direction de Paris est à 7h10.

Suzanne et son amour pour Nice... il est 4h30!!!




 
Lever de soleil au moment du décollage de Nice.


L’appareil se pose à 8h40. Le passage de la douane et la sécurité nécessite une demie heure. Nous devons changer de terminal. Après avoir repéré la porte K37, nous nous dirigeons vers le salon Sky Priorité à 9h45. Là, c’est le calme plat, la bouffe (déjeuner et dîner), les journaux, le Wifi gratuit… nous avons plusieurs heures d’attente avant l’envolée vers Montréal.
Deux touristes heureux de leur «road trip » en France.


L’avion s’envole à 16h05 (heure de Paris) et nous atterrissons à Dorval à 16h45 (heure de Montréal). Passage de la douane et récupération des valises… nous attendons la navette du Holiday Inn Express pendant une demie heure. Nous récupérons la voiture et partons en direction de Vaudreuil à 18h. Souper au St-Hubert, arrivée à Rockland à 20h30 et dodo à 21h. La journée a été longue… 24 heures.

 

Vous trouverez nos prochains commentaires dans l’épilogue.




dimanche 26 mars 2017

Le dimanche 26 mars 2017


Départ à 10h en direction de l’hôtel Novotel Arenas situé à proximité de l’aéroport. Nous y déposons nos valises à 10h10 avant de retourner la voiture chez Avis à l’aéroport. Nous prenons la navette pour retourner à l’hôtel où nous installons nos choses pour la dernière nuitée en France.


Vue de la Méditérranée de notre chambre (hôtel Novotel Arenas).

Quelques minutes plus tard, nous prenons une grande marche vers le centre commercial CAP3000. Cela sera notre visite et notre exercice pour la journée.
Repas du midi au restaurant Edgar avec vue de la Méditerranée.

De retour à l’hôtel vers 13h30, nous relaxons tout l’après-midi car la prochaine nuit de sommeil sera courte. En effet, nous quitterons l’hôtel à 4h10 car l’envolée est prévue pour 7h10 lundi matin.

 
Nous prenons le repas du soir à l’hôtel.

 
Aujourd’hui, 9 kilomètres en voiture, 10 529 pas (7,58 km). Demain, nous serons de retour au Canada à l'aéroport Montréal-Trudeau à 17h30.

 
Vous trouverez nos prochains commentaires dans l’épilogue.

 

Le samedi 25 mars 2017


Départ 8h15; contrairement à ce que nous avons vécu depuis les deux derniers jours, les rues de Nice sont désertes et la circulation est super fluide. À 9h, nous arrivons à Antibes dans un grand stationnement vide souterrain à proximité du port.

Le fort Carré à proximité du port à Antibes.
 
De là, nous marchons vers les remparts et la plage. Un très fort vent arrive de la mer.


La mer déchaînée à Antibes.

Un bout de la place à Antibes avec de fort vent.

À l’intérieur des remparts, dans la vieille ville, le vent est moins violent. Nous déambulons dans les rues et ruelles pour atteindre le marché Provençal.
Le marché Provençal à Antibes.

Premier café à 9h30 au restaurant-bar Le Championnet et le second café à 10h30 au restaurant-bar Jam’s Coffee.

Sur le chemin du retour, nous passons par l’aéroport pour situer l’endroit où nous retournerons l’auto.

Après avoir garé l’auto près de l’hôtel, nous prenons le repas du midi au restaurant Le Québec à 12h30. En quittant l’établissement, c’est une pluie soutenue qui nous attend. Il est inutile d’explorer la ville de Nice à pied et nous regagnons la chambre vers 13h15.



Aujourd’hui, 51 kilomètres, 8 851 pas (6,37 km). Demain, retour de la voiture à l’aéroport et transfert vers notre hôtel pour notre dernière nuitée en France.
 




samedi 25 mars 2017

Le vendredi 24 mars 217


Départ 8h55 pour le tour guidé en direction d’Èze et la principauté de Monaco en compagnie de Mona, la guide d’origine hongroise, deux dames de l’Angleterre et un couple australien.

 

Premier arrêt, Èze, où nous visitons la parfumerie Fragonard et le petit village médiéval perché sur un piton rocheux dont l’altitude maximale est de 700 m. Le temps est pluvieux et les jolies ruelles étroites moyenâgeuses sont un peu glissantes.

 
Èze, petite ruelle étroite moyenâgeuse.




Église Notre-Dame-de-l'Assomption à Èze.
 

Charriot chenillé motorisé utilisé pour monter des lourdes charges.







De là, nous reprenons la route pour emprunter le chemin de la corniche moyenne vers Monaco, le deuxième plus petit état indépendant au monde après le Vatican. Deuxième arrêt, nous descendons près du Palais princier où nous avons une heure pour visiter la vieille ville. Avant le changement de la garde à 11h50, nous avons le temps de visiter la cathédrale où le prince Rainier et Grace Kelly se sont mariés et sont inhumés.
Suzanne et Denis avec une vue sur Monaco.

Le choeur de la cathédrale Notre-Dame-Immaculée de Monaco.
Le changement de la garde au Palais princier à Monaco.
Suzanne sur la Place du palais à Monaco.

Denis devant le musée océanograhique de Monaco.




Le tour se poursuit près du port et du quartier de La Condamine où nous empruntons les avenues utilisées comme circuit de la F1 pour le Grand Prix automobile de Monaco. Troisième arrêt, dans le quartier Monte Carlo, nous descendons pour prendre quelques photos du Casino de Monte Carlo et de l’Hôtel de Paris.
Le casino de Monte-Carlo.


L'hôtel de Parise à Monte-Carlo.


De retour à Nice vers 13h, nous descendons à la Place Masséna et nous prenons le repas du midi Grand café de Lyon. Vers 15h30, nous reprenons notre marche en direction de la cathédrale orthodoxe russe Saint-Nicolas.

La cathédrale orthodoxe russe Saint-Nicolas à Nice.

Notre longue marche se termine avec le retour à l’hôtel à 16h30.

 
Aujourd’hui, 0 kilomètres avec la voiture de location (tour guidé), 12 414 pas (8,94 km). Demain, journée mystère… nous n’avons pas encore décidé de notre emploi du temps.


vendredi 24 mars 2017

Le jeudi 23 mars 2017


Départ à 7h40 en direction de Saint-Tropez. C’est la deuxième journée de pluie depuis notre arrivée en sol français. Nous prenons le petit-déjeuner à l’aire de L’Arc à 8h pour ensuite poursuivre le trajet en traversant le Massif des Maures. La route départementale D558 est en partie constituée d’une route de montagne étroite et sinueuse qui est particulièrement hasardeuse en raison de la pluie abondante. La prudence est de mise.

 

À 9h45, nous garons la voiture dans un vaste stationnement situé à l’est du port de Saint-Tropez. Le temps est maussade et menaçant mais les parapluies sont à la portée de la main si nécessaires. Pour ceux et celles qui ont suivi la télésérie « Saint-Tropez sous le soleil », disons qu’aujourd’hui le titre pourrait être modifié pour « Saint-Tropez sans le soleil »!


Suzanne et Denis à Saint-Tropez


Notre visite terminée à 11h15, nous quittons en direction de Cannes alors que la pluie reprend. Plus loin, à 12h10, à l’aire L’Estérel, nous cassons la croûte. Une heure plus tard, nous reprenons la route et la pluie semble être avec nous pour un bout de temps. Ainsi, nous prenons la décision de laisser tomber la visite de Cannes.
Nous atteignons Nice à 14h30. Trouver le site de l’hôtel est un moindre mal ; le problème est qu’il est impossible de s’arrêter dans les rues étroites qui sont bordées par des voitures des deux côtés. Suzanne descend pour aller confirmer notre arrivée alors que je sillonne les rues environnantes pour revenir chercher ma co-pilote. Nous pouvons garer la voiture dans un stationnement souterrain situé dans le quartier voisin.

Suzanne et Denis aux abords de la Promenade des Anglais à Nice.

Suzanne et une sculpture originale sur la Promenade des Anglais à Nice
Des gerbes de fleurs en mémoire des victimes de l'attentat du 14 juillet 2016,
à proximité du casino sur la Promenade des Anglais à Nice.

Aujourd’hui, 240 kilomètres en voiture, 11 993 pas (8,63 km). Demain, un tour organisé à Monaco (Monte-Carlo).

 







jeudi 23 mars 2017

Le mercredi 22 mars 2017


Déjeuner à 8h30 et départ à 9h10 en direction de la mer; c’est le plan B car en raison du mauvais temps annoncée pour jeudi et de « L’opération Escargot », une manifestation qui vise à ralentir la circulation en banlieue de Marseille, nous mettons le cap sur Cassis. À 9h50, nous atteignons un stationnement à Cassis. C’est un petit port de pêche qui a gardé son charme traditionnel. Il fait partie du Parc national des Calanques; les calanques sont des vallons étroits et profonds à bords escarpés, en partie submergés par la mer, ce qui donne de grandes échancrures profondes et une côte découpée pouvant abriter des ports et des plages.


Un secteur du marché du mercredi à Cassis.

Une vue du port à Cassis.


À 10h15, nous prenons le café au restaurant Monsieur Brun avec le magnifique panorama du port comme vue.

Nous poursuivons la visite avec un promenade de chaque côté du port et des ruelles à proximité.

Le château qui surplombe le port de Cassis.


Suzanne et Denis (falaise du cap Canaille et la Méditerranée à Cassis.

Vers 12h, nous prenons le repas du midi au restaurant L’Oustau de la Mer (risotto, rillettes de sardine et le loup de mer). À 14h, nous sommes de retour à Aix-la-Chapelle… relaxation!
 
Aujourd’hui, 95 kilomètres en voiture, 8 925 pas (6,43 km). Demain, une journée chargée en direction St-Tropez Cannes et Nice.
 








mercredi 22 mars 2017

Le mardi 21 mars 2017


Départ 8h10 en direction d’Avignon. La circulation est encore très dense pour rejoindre l’autoroute et pour atteindre une vitesse de croisière. Vers 9h, nous faisons le plein à l’aire d’Ambrussen et prenons un café.

 

Nous atteignons Avignon à 10h et garons la voiture à l’intérieur des remparts. En cherchant le site de l’information touristique, nous croisons un couple avec un plan touristique à la main; ils sont Brésiliens et parlent un anglais approximatif mais ils nous indiquent que nous sommes à quelques coins de rues du site recherché.

 

Afin d’utiliser les WC, nous prenons un café au restaurant Le Cid Café sur la Place de l’Horloge. Quelques minutes plus tard, nous entrons au Palais des Papes où nous payons les frais d’entrée et débutons la visite à l’aide d’audio-guides. C’est la plus grande construction gothique du Moyen Âge, à la fois forteresse et palais pontifical, qui fut le siège de la chrétienté d’Occident au XIVe siècle. Six papes s’y succédèrent avant le retour des papes à Rome.

 
Le palais des papes à Avignon
Suzanne et le cloître de Benoît XII en arrière-plan.






À la suite de cette visite, nous nous dirigeons vers le Pont d’Avignon, dont le vrai nom est le Pont Saint-Bénezet. Brièvement, il fut construit entre 1177 et 1237 mais en raison des crues du Rhône entre 1479 et 1669 et malgré les tentatives de reconstruction, il présente la forme actuelle.


Suzanne et Denis sur le Pont d'Avignon.



Nous retournons sur la Place de l’Horloge pour prendre le repas du midi au restaurant La Grille. La tajine de poulet est délicieuse. Nous retournons à l’endroit où nous avons laissé la voiture après avoir passé les remparts pour aller observer les bateaux de croisières Vikings (le Buri et le Delling) amarrés sur les berges du Rhône. Vers 13h15, nous reprenons la route en direction de notre prochaine destination.

Un de deux bateaux amarrés sur les berges du Rhône à Avignon.


À 14h15, nous atteignons le Novotel en banlieue d’Aix-la-Chapelle. Après y avoir déposé les valises, nous filons vers le centre-ville où trouver une place de stationnement, même payante, relève d’un tour de force. Sur la Place François Villon, nous rendons visite à l’Office du Tourisme pour ensuite déambuler dans le quartier qui borde la Place du Général de Gaulle. Sur le chemin du retour vers l’hôtel, nous faisons une petite épicerie et prenons le repas du soir avant de rentrer à la chambre à 18h30.

Aujourd’hui, 196 kilomètres en voiture, 12 444 pas (8,96 km). Demain, direction Cassis, petite ville de pêche.






mardi 21 mars 2017

Le lundi 20 mars 2017


Départ 8h30 de l’hôtel. Nous « subissons » un bouchon de 25 minutes avant d’arriver à l’autoroute A75. Elle est surnommée La Méridienne car elle relie le cœur de la France à la côte Méditerranéenne. À 10h, nous atteignons l’aire Le Caylar pour faire le plein et prendre un cappuccino. Nous traversons une partie du Massif central (820 m d’altitude), un plateau où les sommets sont presque dénudés de végétation. En empruntant la route D809, nous nous dirigeons vers la ville de Millau située au confluent de la Dourbie et du Tarn en nous arrêtant quelques instant avant d’y arriver pour un point de vue panoramique sur la ville et le viaduc du même nom.


Selfie de Suzanne et Denis avec le Viaduc de Millau en arrière-plan (1).

À 11h, nous atteignons la ville de Millau village où nous visitons l’église Notre-Dame-de-l’Espinasse et quelques dizaines de minutes plus tard nous commandons une bière au bar Les Colonnes sur la Place d’Armes.
L'église Notre-Dame-de-l'Espinasse à Millau.

Nous rejoignons l’autoroute A75 afin d’aller emprunter le tablier du viaduc de Millau. Avant de nous engager sur le viaduc, nous nous arrêtons pour une prise de photo à point de vue panoramique du côté nord.

Selfie de Suzanne et Denis avec le viaduc de Millau en arrière-plan (2).
Le viaduc de Millau est situé à 270 mètres au-dessus du Tarn et il mesure 2460 mètres de long. Il est une merveille d’ingénierie et sûrement en voie d’être désigné « merveille du monde moderne »!
En direction sud sur le viaduc de Millau.

Sur le chemin du retour, nous prenons le repas du midi à Lodève à la Maison Caunes et nous visitons la cathédrale St-Fulcran. Nous arrivons à l’hôtel à 14h45 pour y déposer nos effets. Nous sortons pour aller faire l’épicerie au Casino Géant et nous regagnons la chambre une heure plus tard.
 

Aujourd’hui, 250 kilomètres en voiture, 7 705 pas (5,55 km). Demain, direction d’Avignon et d’Aix-en-Provence.


 





lundi 20 mars 2017

Le dimanche 19 mars 2017


Départ 8h, en direction de Nîmes où nous devons rencontrer Anne-Marie Bussière, une amie depuis l’été 1989. Notre dernière rencontre remonte à 2005 au moment où nous avons effectué la grande virée dans les provinces maritimes en compagnie de son époux Francis.

 

En route, nous prenons le café à l’aire d’Ambrussum pour atteindre le lieu de rencontre au Castorama de Nîmes à 9h. Quelques minutes plus tard, les accolades et les triples bises fusent et c’est avec un grand plaisir que nous renouons connaissance avec cette amie de longue date.

 

Trente minutes plus tard, nous garons la voiture dans le stationnement du pont du Gard. C’est une partie d’un aqueduc long de plus de 52 km sans doute construit au 1er siècle de notre ère par les Romains. Classé site du patrimoine mondial en 1985, il est haut de 48 mètres et il est caractérisé par un ensemble d’arches construites sur trois étages; il serait le plus haut aqueduc connu du monde romain.

Suzanne, Anne-Marie et Denis près du pont du Gard

Nous débutons la visite sur la rive gauche de la rivière du Gard (ou Gardon), près de l’étage supérieur, avec les explications d’une guide-accompagnatrice. Par la suite, après avoir gravit quelques marches, nous nous engageons dans le canal (1,8 m de haut x 1,2 m de large) long de 275 m pour atteindre la rive droite de la rivière.

Les marches qui mènent à l'entrée du canal de l'étage supérieur du pont du Gard.

Suzanne et Anne-Marie debout dans la canal de l'étage supérieur du pont du Gard.

 

La partie couverture du canal de l'étage supérieur du pont du Gard.

À la suite de cette visite, nous nous dirigeons vers le domicile de Benoît, est fils d’Anne-Marie, et son épouse Raphaëlle qui habitent à Redessan, une banlieue de Nîmes. C’est là que nous prendrons le repas du midi avant de poursuivre nos visites à Nîmes. Nous avons le plaisir de rencontrer Méryl et Kéren, les gentilles petites filles de nos hôtes.
 Vers 16h, nous quittons tous les sept, pour le centre-ville de Nîmes puisque nous voulons visiter les Arènes de Nîmes et la Maison Carrée.  
 À l’aide d’audio-guides, nous effectuons la visite des Arènes de Nîmes qui serait selon la description l’amphithéâtre le mieux conservé du monde romain et de France. Construit vers la fin du 1er siècle avant J.-C., sa façade est composée de deux niveaux de soixante arcades superposées.

Suzanne, Anne-Marie et Benoît devant les Arènes de Nîmes

Vue panoramique de l'Arènes de Nîmes à partir de l'étage supérieur.

Galerie de l'étage intermédiaire de l'Arènes de Nîmes










Photo de la famille Bussière; Raphaëlle, Anne-Marie, Benoît Méryl et Kéren.



Suzanne et Denis sur la piste centrale de l'Arènes de Nîmes.


La visite de l’amphithéâtre terminée, nous nous dirigeons à 500 mètres au nord-ouest vers le temple romain nommée la Maison Carrée. C’est le seul temple du monde antique conservé dans son intégralité. Édifié au début du 1er siècle après J.-C., il est caractérisé par trente colonnes de neuf mètres de haut et ses éléments architecturaux de décoration sont très bien conservés.


La Maison Carrée de Nîmes


De retour au stationnement, le temps est venu de quitter Benoît, Raphaëlle, Méryl et Kéren. Suzanne et moi-même, accompagnés d’Anne-Marie retournons au point de rencontre de ce matin pour qu’elle puisse récupérer sa voiture. Nous pourrions peut-être les revoir au Canada pour une visite culturelle.

Nous filons vers Montpellier où nous prenons le repas du soir au restaurant Courtepaille situé à 100 mètres de l’hôtel. Il est 19h30, nous sommes crevés mais très heureux des visites et des retrouvailles avec nos amis.
 
Aujourd’hui, 168 kilomètres en voiture, 11 022 pas (7,94 km). Demain, direction du viaduc de Millau.