jeudi 9 mars 2017

Le mercredi 8 mars 2017


Une nuit de sommeil de rêve… avec un matelas ferme, des oreillers fermes et le plus grand des silences. Nous prenons le petit-déjeuner à 7h30 au restaurant Le Quarante-Huit situé à 200 m de l’hôtel, croissant, chocolatine et café. Au retour, un arrêt à l’épicerie City située en biais avec l’hôtel pour quelques items.

 

Départ pour la Dune de Pilat à 8h30 localisée à une soixante de kilomètres au sud-ouest de Bordeaux. En route, nous réussissons à comprendre le fonctionnement du régulateur de vitesse. À 9h40, nous débutons l’ascension d’une pente abrupte sableuse (30˚ à 40˚) pour atteindre la cime de l’immense dune à qui s’élève à plus de 100 mètres. En fait, c’est la plus haute dune de l’Europe. Lorsqu’il y a des rafales de vents, le sable fin est balayé et pénètre jusque dans les oreilles. Après avoir pris quelques photos, nous nous dirigeons vers Arcachon pour le café au restaurant La Calypso et pour utiliser la «Pipi Room»… c’est ainsi que la porte d’accès est nommée !

 


Suzanne qui gravit la pente abrupte de la dune du Pilat.


Un selfie montrant l’étendue de la dune.

 


«No comment» !

 

 

De retour à Bordeaux à 12h, nous amorçons une longue marche dans les quartiers situés entre notre hôtel et la Garonne. Sur la rue Saint-Siméon, nous nous arrêtons pour dîner au restaurant Simeone Dell’Arte où Suzanne et moi partageons une pizza au prosciutto. Une heure plus tard, nous sillonnons les rues du centre-ville. Tour à tour, nous visitons sillonnons le dédale de rues de cette partie ancienne de la ville pour visiter plusieurs sites et monuments historiques dont l’église Saint-Pierre (XIIe), la porte Cailhau, le Pont de pierre (1822), la porte Bir Hakeim, la flèche St-Michel (114 m) et la basilique St-Michel (XIVe et XVe), la boutique d’un luthier et l’église Sainte-Croix (XIe et XIIe). À notre arrivée, le grand marché des Capucins est fermé depuis peu. Nous poursuivons notre route vers la porte d’Aquitaine et prenons une pause sur la terrasse du restaurant Pub Saint-Aubin située près de l’Université de Bordeaux (pavillon de l’ethnographie). Une immense tortue en bronze est située à quelques mètres de la porte; elle fait référence à la culture du vin. Les beaux lieux de culte, sont froids et humides (odeur de mildiou) et manque parfois d’entretien et ou de rénovation.

 


La porte Cailhau à Bordeaux.

 


Vue sur le Pont de pierre à Bordeaux.


La flèche St-Michel à Bordeaux.

 


L’intérieur de la lutherie de M. Simon Bour.


La porte d’Aquitaine sur la Place de la Victoire.

 


L’immense tortue en bronze, Place de la Victoire.

 

De là, nous déambulons sur l’allée piétonnière de la rue Sainte-Catherine pour nous rendre à la place des Quinconces qui serait la plus grande place de la France. On retrouve, entre autres, un beau parc, une foire avec des manèges et une immense colonne de 43 mètres, le monument aux Girondins. Rebroussant chemin, nous atteignons la tour Pey-Berland (66 m) et l’immense cathédrale adjacente, la cathédrale Saint-André. Une partie de la structure date du Xe siècle mais l’église primitive du site serait contemporaine du IIIe siècle.

 


Le Monument aux Girondins à Bordeaux.


La Tour Pey-Berland à Bordeaux.

 
Les jambes sont molles… nous regagnons l’hôtel en raison de la fatigue. De retour à la chambre, à la suite d’une bonne douche, nous prenons le repas constitué d’une baguette, des charcuteries, du fromage, des croustilles, des noix et du yaourt. Le Fitbit de Suzanne indique tout près de 18 800 pas, environ 13,5 km de marche et nous avons voyagé 172 km en voiture. Demain, la route vers Saint-Émilion, la grotte de Lascaux et Brive-la-Gaillarde.

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