jeudi 26 septembre 2013

Italie - mercredi le 25 septembre 2013

Mercredi le 25 septembre

Départ à 8h30 pour l’Etna, le plus grand volcan actif de l’Europe (3350 m). L’autobus gravit la montagne en zigzagant sur les routes étroites; les sols noirs des flancs de cette montagne volcanique sont extrêmement fertiles et malgré le danger apparent, c’est pour cette raison que les gens s’y établissent. La guide indique qu’il n’y a jamais eu de fatalités humaines dues aux éruptions car c’est un volcan de type effusif qui est relativement calme puisqu’il dégage cendres et laves en étant très prévisible. Une fumée blanche s’échappe continuellement du cône principal mais soudainement, la guide indique qu’il y a eu explosion au sommet car il y a un nuage gris en forme de champignon qui s’élève au-dessus du volcan. L’autobus s’arrête au bout de la route là où on retrouve deux petits cratères, des restaurants et des boutiques-souvenirs (1747 m). Nous déambulons sur le rebord des cratères (1906 m). Les explosions du sommet se succèdent à l’intervalle de 20 minutes. Le téléphérique pourrait nous amener plus haut mais nous n’avons pas le temps. La guide explique que la fréquence des explosions s’intensifie depuis les trois derniers jours et prédit des feux d’artifice en soirée; nous tenterons de les observer à partir de la plage du complexe hôtelier. En après-midi, le groupe se déplace vers Taormine, un site situé sur un promontoire. Pour les touristes, la seule façon d’y accéder est par navette. Il faut donc emprunter une navette pour accéder au site. Rendu là, le groupe s’éclate pour la pause du dîner. Au retour, la guide nous accompagne pour un tour de ville à pied; tout en déambulant dans les ruelles, nous écoutons les explications qui décrivent les portes et les fortifications, le palais, l’église et le magnifique amphithéâtre dont les gradins font face à l’Etna. Il fut construit par les Grecs au IIIe siècle avant J.-C., remanié par les Romains et partiellement détruit par les envahisseurs. C’est à nouveau le temps de la navette afin de retrouver notre autobus au pied du promontoire. C’est la folie furieuse puisqu’il y a une mer de monde qui tente de s’entasser comme des sardines dans les navettes; il faut imaginer environ 90 personnes dans une navette conçue pour 24 personnes. Bye-bye le concept de santé-sécurité. Nous regagnons le complexe hôtelier à 18h.




 

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